Voici quelques exemples fictifs des formes que pourrait prendre le mentorat en milieu scolaire.
Chaque année, une école primaire en milieu rural jumèle des classes pour un programme de lecture entre camarades de différentes années. Une fois par semaine, un élève d’une année supérieure se joint à un élève d’une année inférieure dans la bibliothèque pour trente minutes de lecture ensemble. Les élèves travaillent avec le partenaire qui leur est désigné (un élève plus jeune avec un élève plus âgé) pendant tout le trimestre. Les élèves plus âgés reçoivent une formation en stratégies précises pour :
Les élèves ont également du temps en classe tout au long de l’année pour réfléchir à leur expérience de jumelage de lecture, apprendre de nouvelles stratégies et faire des suggestions pour le programme.
En outre, l’école travaille de concert avec un organisme communautaire local afin de jumeler individuellement dix élèves de l’école à des mentors adultes qui mettent l’accent sur l’établissement de relations et la promotion de la littératie. Ces mentors sont recrutés, sélectionnés et formés par l’organisme et ils travaillent individuellement avec les élèves pendant une heure par semaine.
Une école a un partenariat continu avec trois associations d’entreprises locales pour fournir des mentors. Les objectifs des relations de mentorat sont d’accroitre la conscience chez les élèves :
Une grande école urbaine offre plusieurs cours des Études professionnelles et technologiques (ÉPT) pour appuyer le mentorat. Les élèves peuvent obtenir des crédits en servant de mentor. Un noyau d’enseignants travaille avec trois écoles secondaires voisines pour coordonner les relations de mentorat.